Literie bleunuit
Magasin spécialiste literie depuis 1994
Bruay la Buissière & Lens

Blog

Comment bien choisir sa literie ?

Le choix de la literie est crucial pour garantir une bonne qualité de sommeil. Les différents éléments à prendre en compte pour choisir sa literie sont nombreux type de matelassommieroreillercouette, etc. Il convient de porter une attention particulière à la morphologie et aux besoins de chaque personne, en prenant en compte des critères tels que le poids, la taille, les problèmes de dos, ou encore les allergies.

Souple, ferme, très ferme ou ergonomique, le choix du confort n’est pas qu’une question de goût! Un matelas adapté doit tenir compte de la morphologie, du poids et des habitudes de couchage du dormeur en lui offrant un soutien progressif et personnalisé de toutes les parties du corps.

Pour un sommeil réparateur, le dos et tout particulièrement la colonne vertébrale doivent bénéficier d’un confort optimal. Bien que l’appréciation subjective du confort soit toujours nécessaire, trois zones de pressions spécifiques doivent être appréhendées avec précision : la zone épaules, la zone lombaires et la zone bassin.

Le matelas est certainement l'élément central de la literiePlusieurs types de matelas existent sur le marché les matelas à ressorts, les matelas en mousse, les matelas en latex, ou encore les matelas à mémoire de forme. Pour choisir le matelas adapté, il est important de considérer plusieurs facteurs, tels que la fermeté, la résilience, l'indépendance de couchage, la présence d'acariens, la ventilation, etc. Les matelas à ressorts ensachés, par exemple, offrent une grande indépendance de couchage grâce à la présence de centaines de ressorts indépendants.

LES PATHOLOGIES MAJEURES DU SOMMEIL

Le sommeil n’est pas toujours de tout repos, et peut s’accompagner de phénomènes spectaculaires. Terreurs nocturnes et somnambulismes, Cauchemars et paralysies du sommeil… Longtemps liés à la folie, les spécialistes parviennent aujourd’hui à mieux comprendre ces pathologies et à mieux les traiter

La terreur nocturne

L’enfant se dresse brutalement sur son lit, hurle les yeux ouverts, le cœur battant, ayant du mal à respirer. Il est impossible de le consoler, l’enfant ne reconnaît personne car il est en plein sommeil. On rencontre ces terreurs nocturnes chez 3% des enfants. On retrouve fréquemment des antécédents familiaux. Relativement banales, ces terreurs deviennent préoccupantes si elles se répètent et durent au-delà de l’adolescence.

Le somnambulisme

Le sujet passe du sommeil lent profond en sommeil léger et, tout en restant endormi, se lève et déambule. Il ne voit rien et peut se cogner, voire se blesser en faisant une chute. Le somnambulisme apparaît entre 5 et 12 ans. Il est relativement fréquent : 1% à 6% de la population. Environ 15% des enfants ont au moins un accès. Le somnambulisme peut persister à l’âge adulte. Terreur nocturne et somnambulisme sont très liés.

Les éveils confusionnels

On les rencontre chez l’enfant de moins de 5 ans et chez les adultes gros dormeurs. C’est un état de confusion survenant à la suite d’un réveil plus ou moins brutal. Il n’y a ni terreur ni déambulation. On retrouve souvent des antécédents familiaux. Chez l’adulte, la prise de certains psychotropes peut aussi jouer un rôle favorisant. Le sujet peut avoir un comportement parfois dangereux.

L’énurésie nocturne

C’est le nom savant du « pipi au lit ». On distingue 2 types : Enurésie primaire, lorsque l’enfant n’a jamais été propre. Il y a un terrain héréditaire. Enurésie secondaire, quand l’enfant après avoir été propre, recommence à faire pipi au lit. Les facteurs psychologiques ont alors une place importante.

Les dystonies paroxystiques nocturnes

On en rencontre de 3 types : gestes brutaux avec un bras, lever et attitudes de contorsion, agitation extrêmement spectaculaire. Autrefois, on pensait que cela concernant les grands hystériques et les malades mentaux. Il n’en est rien. Ce sont certainement des phénomènes épileptiques.

Pour réduire ces pathologies mineures du sommeil, Il faut faire attention à son hygiène de sommeil et à son environnement: bruit, température, lumière. Le lit a bien sûr un rôle central: confortable, adapté au poids et à la taille du dormeur, il contribue à un sommeil calme et profond, et permet aux muscles de se détendre.

COMMENT BIEN DORMIR ?

Nous passons le tiers de notre vie à dormir, soit près de 25 ans pour la majorité d’entre nous. Le sommeil est indispensable et sa privation entraîne rapidement des troubles plus ou moins importants. Beaucoup de français estiment mal dormir, avoir des insomnies ou encore souffrir d’un sommeil agité. Autant de signe d’un sommeil non réparateur.

Voici quelques astuces qui pourraient vous aider à mieux dormir :

  •  Respectez les horaires de votre « horloge interne » : il est nécessaire de se coucher aux mêmes heures, ni avant, ni après, et cet automatisme est une assurance de bon sommeil. Il est important de prendre conscience du moment où l’organisme éprouve le besoin de dormir et de respecter ses exigences. 
  •  Évitez les repas trop copieux : mangez sans excès avant le coucher et évitez les excitants comme le café ou l’alcool. 
  •  Ne pas surchauffer votre chambre à coucher : une température entre 16 et 18°C est suffisante. Aérer votre chambre avant le coucher pour en renouveler l’air est également recommandé. 
  •  Assurez-vous d’être dans une pièce silencieuse. 
  •  Favorisez l’obscurité.

Et pour finir, bien évidemment, assurez-vous d’avoir une bonne literie adaptée à votre poids et votre taille.

LE SOMMEIL DU SPORTIF

Pour le sportif, le sommeil a une récupération directe sur les facultés de récupération et les performances. Notre organisme a besoin de sommeil pour éliminer la fatigue. Une mauvaise nuit peut compromettre irrémédiablement les performances.

Le sportif doit donc être attentif à son sommeil, en qualité comme en quantité.

Ce qu’il faut faire pour bien dormir :

  •  Veiller à son environnement : bruit, température, aération de la chambre, obscurité… 
  •  Disposer d’un bon ensemble sommier/matelas, ferme et élastique sans être dur, pour favoriser la détente des muscles et la relaxation de la colonne vertébrale. Ne pas oublier un oreiller bien adapté. 
  •  Connaître ses rythmes de sommeil, le sportif doit savoir s’il appartient à la catégorie des « grands dormeurs » ou « petits dormeurs », s’il est « du soir » ou « du matin ».

Attention aux somnifères !

Lors d’une compétition, le stress, le fait de ne pas dormir chez soi et les horaires de la compétition rendent le sommeil plus difficile. Le recours aux somnifères est tentant. Ils doivent cependant être évités car ils peuvent avoir des effets négatifs sur les performances. De plus, ils sont interdits par la réglementation anti-dopage.

Pourquoi pas la sieste ?

Avant une compétition, faire la sieste peut être favorable. Après une compétition, elle constitue un excellent moyen de récupérer. Les bienfaits de la sieste diffèrent pour chaque personne, d’où l’intérêt de bien se connaître.

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'installation et l'utilisation de cookies sur votre poste, notamment à des fins d'analyse d'audience, dans le respect de notre politique de protection de votre vie privée.